Bonjour à tous,
16ème jour de notre Monastère invisible
Pour ce 1er avril un peu de légèreté en ces temps difficiles ...
Connaissez vous Saint Glinglin?
« Fêté » le 1er avril, saint Glinglin, patron des personnes en retard, a eu une vie vraiment pas commune.
Mais au fait, a-t-il vraiment existé ?
On raconte qu’avant de daigner venir au monde, il a fait attendre sa mère durant… 18 mois. Un sacré bonhomme!
Ce détail donne le ton quant à l"histoire de saint Glinglin. Ce moine imaginaire aurait eu la charge de sonner les cloches du couvent, son surnom
« Grelin, grelin » ou « Glin, glin ».
Patron des gens en retard, la vox populi, non dépourvue d’humour, qui l’a inscrit au calendrier des saints le 1er avril.
son nom viendrait non pas de « saint » mais de « seing », un terme issu de l’ancien français désignant « une sonnerie de cloche »
puis, par extension, une cloche tout court. Quant à « glinglin », ce terme dériverait du verbe « glinguer »,
issu de l’allemand « klinguen », qui signifie « sonner ».
Attendre quelque chose jusqu’à la Saint-Glinglin, c’est attendre une hypothétique sonnerie de cloche qui ne vient jamais.
Aujourd’hui, on espère juste que le confinement, lui, ne s’achèvera pas à la Saint-Glinglin.
« Seigneur, donne-moi l’humour pour que je tire quelque bonheur de cette vie et en fasse profiter les autres ».
Ces mots de Thomas More montrent bien que l’humour n’est absolument pas incompatible avec la vie du chrétien.
Voici quelques blagues pour ce mercredi 1er avril ,.
Prier et fumer
Le hasard veut qu’un jésuite et un franciscain se rencontrent, face à face, dans un compartiment de train, priant le bréviaire chacun de son côté.
Là-dessus, le jésuite sort nonchalamment de sa poche un paquet de cigarettes et s’en allume une.
« On n’a pas le droit de fumer en priant! s’offusque le franciscain.
– Moi si, répond le jésuite. J’en ai obtenu l’autorisation…
– Non ?…. C’est facile à obtenir ? demande, intéressé, le franciscain.
– Et comment ! Il suffit de faire une demande à son supérieur. »
Le hasard fait que les deux se retrouvent peu de temps après.
Le franciscain est en colère :
« Vous m’avez bien eu : évidemment, je n’ai pas obtenu l’autorisation.
– Comment avez-vous formulé votre requête?
– Très simplement. J’ai demandé si je pouvais fumer en priant.
– Vous vous y êtes très mal pris! Il fallait faire comme moi :
demander si vous pouviez prier en fumant ».
Les homélies un merveilleux prétexte pour rire:
Un pauvre prêtre faisait tout ce qu’il pouvait pour prononcer des sermons qui puissent nourrir la foi des participants de la messe. Mais il n’observait dans le public qu’un état général d’indifférence, de distraction flagrante, voire de torpeur. Une idée lui vint alors à l’esprit, qu’il mit à exécution le dimanche suivant. Après la proclamation de l’Évangile, l’auditoire s’étant assis, il sortit une feuille de sa poche puis commença par ces mots, dits avec force et conviction :
« Le lapin aux pruneaux… Prenez un beau lapin, dépouillez-le et videz-le soigneusement, puis découpez-le en morceaux que vous faites revenir à feu vif dans une cocotte avec un peu d’huile, du thym et du romarin. Quant aux pruneaux…
Voyant alors que tous ses auditeurs sans exception avaient dressé leurs oreilles et le fixaient de leurs yeux exorbités, il s’interrompit :
– Ah, nous y sommes enfin ! Je donnerai le texte de la recette entière à tout le monde à la sortie de la messe, et venons-en maintenant au sermon !
« Le lapin aux pruneaux… Prenez un beau lapin, dépouillez-le et videz-le soigneusement, puis découpez-le en morceaux que vous faites revenir à feu vif dans une cocotte avec un peu d’huile, du thym et du romarin. Quant aux pruneaux…
Voyant alors que tous ses auditeurs sans exception avaient dressé leurs oreilles et le fixaient de leurs yeux exorbités, il s’interrompit :
– Ah, nous y sommes enfin ! Je donnerai le texte de la recette entière à tout le monde à la sortie de la messe, et venons-en maintenant au sermon !
Un dimanche avant la messe, un paroissien croise monsieur le curé à l’entrée de l’église et s’exclame :
« Oh ! Vous vous êtes blessé au menton ?
-Rien de bien grave, rassurez-vous. J’ai soigné la préparation de mon sermon et j’y pensais encore tout en me rasant, ce qui fait que, par étourderie, je me suis coupé.
À la fin de la messe, le même paroissien va trouver monsieur le curé dans la sacristie.
-Alors, mon sermon ?
-Puisque vous tenez à avoir mon avis, la prochaine fois, monsieur le curé, soignez votre rasage, mais coupez l’homélie !
La répartie et la jovialité du pape saint Jean XXIII restent une marque de son pontificat!
La supérieure du Saint-Esprit
Un jour, le « bon pape » sort seul du Vatican pour aller rendre une visite discrète à un ami prêtre qui séjournait à l’hôpital du Saint-Esprit.
Quand il s’annonce à la porte, la mère supérieure toute émue lui dit :
« Saint-Père, je suis la supérieure du Saint-Esprit ». Et Jean XXIII de répondre :
« Mais quelle carrière fabuleuse vous avez fait ma sœur ! Je n’ai réussi pour ma part qu’à devenir le vicaire du Christ ! ».
Les sœurs de saint Joseph
Un groupe de religieuses se présente un jour au Pape et lui indiquent qu’elles sont les sœurs de Saint-Joseph. Le bon Pape réplique du tac au tac « Mais que vous êtes bien conservées ! ».Je dois en parler au pape
Saint Jean XXIII avouait à ses collaborateurs :« Parfois, je me réveille la nuit, et je commence à penser à de graves problèmes. Je me dis alors que je dois en parler au pape. Je me réveille alors complètement, et me rappelle que le pape, c’est moi ! » Il répétait souvent d’ailleurs :« Tout le monde peut devenir pape, la preuve c’est que je le suis ! »Voilà ce mail aujourd'hui tout simple juste pour sourire ...PRIONSEn pièce jointe vous trouverez le livret de chants pour pouvoir chanter tous ensemble lors des messesdiffusées en ligne(ce n'est pas une blague!)Un petit chant pour rester dans la joieBien fraternellementChristine
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