Le 1er mai, l'Eglise fait mémoire de saint Joseph, travailleur, qui était le charpentier de Nazareth,
qui travailla pour subvenir aux besoins de Marie et de Jésus et qui initia le Fils de Dieu aux travaux des hommes.
Le travail est joie et souffrance, il est service de la communauté et approche de Dieu :
voilà ce qu'on apprend à l'école de Nazareth. Aujourd'hui, dans de nombreux pays du monde, on célèbre la fête du travail.
Seigneur Jésus, fils du charpentier,
Nous te prions pour ceux qui sont au travail en ce 1er mai.
Donne-leur la santé,
Afin qu'ils contribuent toutes leurs capacités,
Aux œuvres de l'humanité !
Nous n'oublions jamais ceux qui sont demandeurs d'emploi !
Qui sont dans la peine et dans le désarroi !
Que toute loi économique, toute action gouvernementale,
portent de bons résultats, aient un réel impact sur l'emploi !
Nous te remercions pour ceux qui luttent contre la hausse du chômage !
Que la lumière soit comme le phare
Qui guide les « pas » des syndicats
Avec les travailleurs du monde entier,
Nous te demandons de nous donner, le goût, l'amour de notre travail !
Que nous l'accomplissions avec justice et honnêteté !
Que nous sachions te louer,
Utiliser les richesses
Que tu nous as confiées
Au service de ceux marginalisés,
Dans notre société
Que chacun, chacune puisse goûter ta paix,
SAINTE MARIE
Le mois de Mai compte 31 jours pour marcher avec Marie, temps pour prier le Seigneur par son intercession.
La première prière proposée par le Pape François
Ô Marie, Tu brilles toujours sur notre chemin comme un signe de salut et d'espoir.
Nous nous confions à toi, Santé des malades, qui auprès de la Croix, a été associée à la douleur de Jésus, en restant ferme dans la foi.
Toi, Salut du peuple romain, tu sais de quoi nous avons besoin et nous sommes sûrs que tu y pourvoieras pour que,
comme à Cana de Galilée, la joie et la fête reviennent après cette épreuve.
Aide-nous, Mère de l'amour divin, à nous conformer à la volonté du Père et à faire ce que nous dira Jésus,
qui a pris sur lui nos souffrances et s’est chargé de nos douleurs pour nous conduire à travers la Croix, à la joie de la résurrection.
Amen.
Sous l’abri de ta miséricorde, nous nous réfugions, Sainte Mère de Dieu.
Ne méprise pas nos prières quand nous sommes dans l’épreuve, mais de tous les dangers délivre-nous toujours, Vierge glorieuse et bénie.
La seconde prière proposée par le Pape François
(Prier avec cette vidéo du Pape François)
Source vatican news
SAINT PAUL
Dans le texte d'aujourd'hui découvrons la conversion de st Paul Actes 9,1-20
On ne comprend cette personnalité centrale des origines du christianisme qu’à partir de l’expérience foudroyante qu’il a faite du Christ.
Dans ses lettres, l’apôtre mystique du Christ ne parle pas de "sa conversion", mais plutôt d’une révélation.
"Dieu m’avait mis à part dès le sein de ma mère, dans sa grâce il m’avait appelé, et, un jour, il a trouvé bon de mettre en moi la révélation de son Fils, pour que moi, je l’annonce parmi les nations païennes." (Ga 1, 15-16)
Voici un jeune pharisien en route vers Damas pour détruire des chrétiens hérétiques.
Tout à coup, vers midi, c’est la révélation, brutale, immédiate, totale. Une lumière venue du ciel l’enveloppe de son éclat, une lumière aveuglante qui prend la forme d’un appel intérieur.
Il tombe à terre, regarde la lumière, entend une voix qui lui dit en hébreu:
« Saoul, Saoul, pourquoi me persécutes-tu ? » (Actes 9, 4)
Tout commence avec cette lumière et cette voix. L’appel retentit au-dedans de son corps renversé, un appel gratuit dont Dieu a toute l’initiative. Il ressent une présence indéfinissable, répond à la voix par une question :
« Qui es-tu, Seigneur ? »
Et la Parole faite chemin en lui de répondre : « Je suis Jésus que tu persécutes. » (Actes 9, 5)
Tout est dit. Jésus le crucifié est donc vivant en ces chrétiens qui parlent de résurrection.
Paul se rend compte qu’il le persécute en les persécutant.
C’est le réveil du Christ en son âme. De zélateur de la loi, il devient le défenseur de la foi au Christ ressuscité.
Sa vie, c’est le Christ. « Je poursuis ma course pour tâcher de saisir, ayant été saisi moi-même par le Christ Jésus » (Ph 3, 13).
Paul nous montre que toute conversion chrétienne est une expérience pascale.
C’est la rencontre personnelle du Ressuscité dans ma vie.
Ce contact intérieur débouche sur une mission.
Pour Paul, ce sera d’ouvrir le christianisme à toutes les nations par l’annonce de l’Évangile du salut. On connaît la suite.
À sa catéchèse du mercredi 25 octobre 2006, Benoît XVI disait: "Une leçon très importante découle pour nous de la conversion de Paul:
ce qui compte, c’est de placer Jésus-Christ au centre de sa propre vie, de manière à ce que notre identité soit essentiellement marquée par la rencontre, la communion avec le Christ et sa Parole.
À sa lumière, toute autre valeur est rétablie et, en même temps, purifiée de résidus éventuels."
Paul demeure un guide spirituel pour tous les chrétiens.
Que serions-nous sans ses épîtres?
La liturgie nous propose ses textes pratiquement tous les dimanches et parfois en semaine.
En ces temps où l’on parle de nouvelle évangélisation, Paul nous rappelle que la puissance du témoignage ne vient pas des techniques,
mais de l’union au Christ, de la joie de vivre l’Évangile, sinon elle demeure lettre morte.
"Celui qui s’unit au Seigneur n’est avec lui qu’un seul esprit." (2 Co 6, 17)
Idée du jour: 
Jésus est le Pain de vie
Nous vous invitons à confectionner votre corbeille de pain quotidien
Pour cela prenez une corbeille à pain
-Imprimez (pour ceux qui le peuvent ) ou recopier les Paroles ,
-découper les pains de vie que vous trouverez en pièce jointe
et à chaque repas dévorer ces petits pains sans aucune modération!
Vous pouvez remettre la Parole dans la corbeille , le pain sera toujours frais et succulent!
vous pouvez également trouver vous même des paroles dans la bible
Bon découpage , bon appétit!
Extrait de l'homélie du Jeudi 30 avril 2020 par le Père Philippe Boitier
"Je suis le pain vivant venu du Ciel "
En ce temps où vous êtes privés de la communion eucharistique,
En ce temps où les prêtres son privés de pouvoir vous la donner
il est bon de reprendre les pères de l'Eglise qui nous ont enseigner les 3 façons de communier
Particulièrement Guillaume de St Thierry qui a développer la notion de Communion spirituelle.
3 modes de communion :
1- La communion sacramentelle
Je suis à la messe mais mon coeur est ailleurs
je suis à la messe par habitude sans rendre grâce
Mon corps est là mais mon coeur est ailleurs
L'eucharistie ne peut donner du fruit
2- La communion Spirituelle
Je ne peux pas être à la messe
je suis présent en m'associant à l'acte eucharistique qui est dans une autre endroit
je m'unis par la foi, par le désir,
Alors la foi et la charité porte du fruit
L'eucharistie (l'action de grâce) se déploie en moi pleinement
3- La communion Sacramentelle et spirituelle
Je suis à la messe de tout mon coeur
corps exprimant le désir d'être avec le christ et avec ses frères et soeurs
au corps du christ je dits AMEN de tout mon être
je désire suivre le Christ
L'Eucharistie nourrit la foi enrichie la charité elle donne pleinement du fruit
Ce confinement peut être là pour renouveler ma vie eucharistique.
afin que j'offre un Amen selon la volonté du père dans le Fils (corps du CHRIST Tête et corps)
et par l'Esprit qui anime le corps
Offrons donc un vrai Amen à Dieu qui nous attire à LUI
Amen! Amen! Amen!
Bien fraternellement
Christine
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